Nous avions laissé les Braverman sur des notes bien différentes. Si certain on grandi, trouver l’amour et son prêt pour la vie de famille, les grands parents traversent une passe difficile. Bref la saison 1 de Parenthood c’était une mise en bouche, un apéritif avant un grand buffet, une petite introduction à se que la vie peut offrir de meilleur comme de pire.
Si la saison 2 fut acquise, elle nous offre cependant 22 épisodes assez irrégulier avec leur part d’amusement, de compassion et de sympathie, une bonne chose tant la série avait du mal jusqu’ici à nous proposer de l’épaisseur.
PHOTO DE FAMILLE
Plus d’excuse donc pour Parenthood qui avait démarré sur une bonne première saison. Ici, la série prend des airs d’irrégularité malheureusement, si en premières partie de saison toute l’attention se focalise sur Adam et son travail, sans parler de Sarah qui mêle petit boulot et galère, le tout avait vraiment du mal à repartir.
Zeek et Camille suivent une thérapie de couple, puis s’en sorte mais durant le milieu et la fin de saison on ne leur offre que le rôle d’arbitre sans leur donner d’envergure réelle à part le charisme naturel que suscite Craig T. Nelson, bref nous sommes un peu déçu.
La saison prend forme tout le long en réalité entre les difficultés de conception de Julia et Joel, les problèmes de la vie courante de Adam et Kristina, sans oublier Haddie qui sort avec Alex et avec lequel cela devient plus que sérieux, Sarah qui écrit une pièce de théâtre à succès mais les déboire de sa fille Amber et le retour de son ex-mari font au contraire partie de se que la saison à de mieux à offrir. Quand à Crosby et Jasmine c’est « je t’aime moi non plus » ou encore « adultère et pardon », bref ça avance peu mais ca reste très bon dans l’ensemble.
Toutefois se qui fait cette saison ce sont les guest tout de même avec l’apparition de Wiliam Baldwin en patron et draguer célibataire invétéré, John Corbett en ex mari de Sarah, Steven Weber en producteur scintillant, et surtout Michael Emerson en obsédé des insectes atteint du syndrome d’Asperger, tout simplement brillant.
COMME A LA MAISON
L’envergure voila se qui manquait à ce tout sympathique, ici de l’épaisseur et de la hauteur ont été ajouté et cela donne un formidable résultat en fin de compte, c’est irrégulier certes mais on ne se lasse pas. Ron Howard et Jason Katims mène leur bébé avec précision et c’est réussit, au finale Parenthood ce n’est rien d’autre que la famille comme à la maison.
Les difficultés de chacun trouve un écho auprès de tous, la fatalité de la vie mais également ces moments insaisissable, ces bouleversements soudain sans parler des difficultés du quotidien et des peurs irraisonné tout cela ne laisse pas insensible, c’est donc tous simplement tendre et doux. Rajouté à cela une dose d’interdit, de petit talent tel que Minka Kelly en auxiliaire pour enfants malade, et un brin de tendresse et vous comprendrez que Parenthood ce n’est pas incontournable c’est simplement irrésistible.
Au finale cette seconde saison de Parenthood permet un réel attachement au personnage, un vrai intérêt et développe des arcs scénaristiques tres intéressant. C’est donc avec un réel enthousiasme que l’on vous recommande cette seconde saison et plus largement Parenthood qui ne cherche pas à marquer les esprits, juste à les attendrir, à leur montrer que la vie est une chose formidable.
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