
The Whole Truth est un drama judiciaire centré sur des affaires dans laquelle nous suivrons équitablement le travail de la défense et du ministère public pour tenté d’arriver à leur fin.
Jerry Bruckheimer, ça vous dit quelques choses ? Forcement, géniteur de nombreuse grande série tel que CSI ou Cold Case, le producteur prolifique revient sur ABC avec The Whole Truth. Du coup le Mercredi 22 Septembre 2010 à 22h00, pas grand monde était rassemblé pour l’occasion puisque avec seulement 4.85 millions d’américains, le pilot est très loin de Cougar Town diffusé à 21h30 juste avant qui avait rassemblé 8.32 millions de téléspectateurs.
Si le trailer nous avait complètement annoncé un show classique à la Bruckheimer, ce pilot renforce encore plus cette impression.
Globalement c’est raté, complètement raté, à commencé par les personnages à la limite du ridicule. Des le début de l’épisode quand Rob Morrow répond à un transsexuel puis quand il va au tribunal en costume mais avec des chaussures rouge ! Oui on ne rêve pas, dans le but de détendre l’atmosphère. Tout cela concoure au ridicule. Après les personnages manquent clairement de charisme, Rob Morrow n’en n’ayant que très peut et Maura Tierney semble complètement à coté de son rôle et pas crédible du tout.
Si la réalisation ne souffre pas de défaut apparent il faut tout de même reconnaitre que le coté sombre de la série, classique chez Bruckheimer, ne concours en aucun cas à nous attacher aux personnages ni même à la série. De se point là il y a une faute dans la réalisation bien trop impersonnel.
Enfin si le concept pouvait séduire au premier abord, on se demande vraiment où il se trouve, alors même si on suit en effet les deux cotés du procès au finale on ne trouve pas grand intérêt à The Whole Truth.
Si le concept de la série était de proposer chaque semaine une « law fight » au public et marquer les points sur le tableau, c’est réussit puisque au finale si les deux points de vue se défendent on attend jusqu'à la fin le dénouement pour connaitre l’entière vérité (The Whole Truth).
Finalement pas de surprise, Bruckheimer étant maitre dans l’art de la non surprise, le producteur nous offre là encore un de ses produits nomenclaturé à l’extrême, particulièrement fade et sans véritable âme. L’entière vérité c’est que The Whole Truth ne vaut définitivement pas le coup d’œil.
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